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    Basilique Saint Donatien-Saint Rogatien...

    Façade de la Basilique Saint-Donatien, Saint-Rogatien

     

     

     

    Basilique Saint Donatien-Saint Rogatien...

    Nef côté portail.

     

     

     

     

    Basilique Saint Donatien-Saint Rogatien...

    Le tympan du portail.

     

    La basilique Saint-Donatien-et-Saint-Rogatien est une basilique française située dans le quartier Malakoff - Saint-Donatien de Nantes. Son accès donne sur la place des Enfants-Nantais. Elle est l'une des deux basiliques de la ville, avec la basilique Saint-Nicolas.

    Datant du XIXe siècle, elle est dédiée à saint Donatien de Nantes et à son frère saint Rogatien, premiers chrétiens nantais, martyrisés dans la ville à la fin du IIIe siècle. Outre la basilique, le site est également composé d'un cimetière et de la chapelle Saint-Étienne, protégée au titre des monuments historiques.

    L'édifice s'élève à l'emplacement d'une ancienne villa gallo-romaine. Des fouilles effectuées en 1873 mirent à jour un ancien cimetière païen et révélèrent que quatre églises furent successivement bâties.

    La promulgation de l'édit de Constantin, neuf ans après leur mort, voit se développer un culte autour des corps des deux frères qui sont placés, 21 ans après leur mort, dans un sarcophage en marbre gris des Pyrénées, mesurant 2,25 mètres de long et 75 centimètres de large. Les reliques attirent alors des pèlerins, nécessitant la création d'une « Garde d'honneur » constituée des moines de Saint-Martin.

     

     

     

    Basilique Saint Donatien-Saint Rogatien...

    A la droite de la nef, le sarcophage en marbre gris des Pyrénées ayant contenu le corps des saints martyrs.

     

    La première église aurait été édifiée suivant la tradition sur la propriété familiale des saints nantais vers 490. Les invasions normandes détruisent le premier édifice qui, une fois la paix revenue, laisse place à une nouvelle église vers l'an 980. Cependant, selon Dubuisson-Aubenay, des vestiges du sanctuaire primitif existent encore au XVIIe siècle, notamment l'abside ancienne.

    Le 16 mars 1739, la première pierre de la reconstruction est posée par Jean-Marie de Trevelec, conseillé au Parlement de Bretagne et sa femme Françoise Charrette.

    Transformée en hôpital pendant la Révolution, elle est vendue en 1796. Une fois l'église rendue au culte en 1802, les parties manquantes sont reconstruites à partir de 1804, donnant naissance à une église plus vaste de forme cruciforme, consacrée par Mgr Duvoisin, le 28 mars 1806..

    Texte et image wikipédia

     

    Aujourd’hui cette magnifique Basilique, brûle depuis le petit matin, ce soir, il ne reste pas grand-chose du toit.

     La Cathédrale, subit le même sort il a une dizaine d’années, des ouvriers refaisaient le toit et y travaillaient au chalumeau.

    Est-ce un accident ? On ne sait !

    La communauté catholique de Nantes est en deuil aujourd’hui.

    Liviaaugustae


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    Les délires à l'école...

    Molière par Pierre Mignard (1658)

    Chantilly

     

     

    Molière ! Revient ! Ils sont devenus fous ! 

     

     Au fou!!!

     et voila pourquoi nous ne comprenons rien.

     Heureusement quelqu'un a traduit.

    Il y a  vraiment de quoi se délecter en lisant la prose du Conseil Supérieur de l’Éducation Nationale (enfin c'est comme cela qu'ils s'appellent eux-mêmes...). 

    Jusqu'alors on frisait le ridicule maintenant on le dépasse ! 

    En littérature, par exemple, il s’agira désormais de

    « mobiliser en réception et en production les  connaissances permettant d’analyser les propriétés d’un élément linguistique et son degré d’acceptabilité ».  

    En bon français : faire de l'étude de texte.

    En langues vivantes, on va

    « se familiariser avec des mobilités virtuelles, se préparer à des mobilités physiques et communiquer pour devenir médiateur entre les cultures ».  

    En bon français : apprendre une langue étrangère.

    Mais la médaille revient sans doute à l’éducation physique et sportive. Les élèves devront ainsi apprendre à

    « se déplacer de façon autonome, plus longtemps et plus vite dans un milieu aquatique profond standardisé" 

    En bon français : nager dans une piscine.

    et

    « coopérer pour s’adapter collectivement à la confrontation adverse et s’exercer au duel « médié » par une balle dans le but de remporter un match » 

    En bon français : pratiquer un sport collectif.

    Dans Le Malade imaginaire, Molière critique ceux qui enrobent leur incompétence d’un langage jargonnant et qui sont d’autant plus ridicules qu’ils se prennent au sérieux !

    Mais ces "pseudo-enseignants" du Conseil Supérieur de l'E. N. savent-ils encore qui fut Molière ???

    Offert par mon ami Jean-Claude du blog Guadeloupe attitude :

    http://halleyjc.blog.lemonde.fr/ 

     

    C’est le charabia invraisemblable, qui est fabriqué dans la cuisine socialiste de l’éducation nationale, on n’y comprend rien, mais c’est fait  pour !

    Liviaaugustae


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    C’est le poème que j’ai écrit pour le jeu Café/thé n° 62 de Brigitte, « écureuil bleu ».

     C’est un bien joli thème…

     

     

     

    Un si joli rêve...

    Les petits prés au printemps

    Alfred Sisley

     

     

    Si j’étais…

     

    Si j’étais un arbre,

    Je serai un  saule,

    Et pousserai en bordure de la rivière

    Pour écouter chanter l’eau…

     

    Si j’étais un oiseau,

    Je nicherai au creux de ses branches

    Et tout le jour,

    Je chanterai avec elle…

     

    Et si j’étais un nuage,

    Je danserai dans le ciel

    Sur la chanson de la rivière et de l’oiseau…

    Liviaaugustae

     


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    Laissez venir à moi les petits enfants...

    Le Christ et les enfants

    Bronze de Françoise Bissarat-Fréreau

    « Françoise Bissarat-Fréreau, peintre et sculpteur nourrie de l’Ecriture sainte, créatrice de vitraux, elle a décoré à nouveau, l’ancienne abbaye cistercienne de Fontmorigny, dans le Cher, et le cœur de la cathédrale de Fréjus. Elle vient de réaliser la Vierge monumentale en bronze de la nouvelle cathédrale de Créteil.

     

    Le Christ attend, au bord d’une spirale de bronze, que les âmes s’élancent vers Lui. Elles sont figurées par deux petits enfants : « Lassez venir à moi les petits enfants. »

    Le Royaume des cieux appartient à ceux qui ont gardé leur âme d’enfant. Jésus bénit celui qui est proche de Lui et qui se jette dans ses bras avec confiance.

    Le cercle en spirale les attire irrésistiblement et, en même temps, il les protège comme une bénédiction. Le cercle est un symbole d’infini. Nous sommes sur la Terre, mais tous appelés à la sainteté et à suivre le Christ. Il s’agit là d’un cercle vertueux et non d’un cercle vicieux. Une spirale de Bien et de Beau. Ce cercle est aussi  une porte, « la porte du cœur », le signe de l’ouverture du cœur de Dieu qui est le commencement et la fin de toute chose. Cette œuvre est remplie de la joie du Temps pascal.

     

     

     

    Laissez venir à moi les petits enfants...

    L’enfant de gauche s’élance en courant vers Jésus, comme dans un jeu.

     

     

     

    Laissez venir à moi les petits enfants...

    L’enfant de droite, venant de l’extérieur du cercle, arrive de plus loin et semble planer vers le Christ.

     

    Marie-Gabrielle LEBLANC

     

     

     

     

     

     

     


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    Mes tableaux du samedi…

     

    Akseli Gallen-Kallela, de son vrai nom Axel Waldemar Gallén, est né le 26 avril 1865 à Pori en Finlande, mort le 7 mars 1931 à Stockolm, est un peintre et graveur finlandais de la fin du XIXe et du début XXe siècle.

    Il fut un des artistes finlandais les plus connus internationalement. Son œuvre est associée aux styles National romantique, symboliste et réaliste.

    Je vous invite à admirer ce peintre sur la valse triste de Sibelius, un autre finlandais, clic sur le lien ci-dessous :

    https://www.youtube.com/watch?v=OoUBZ43M2WY

     

     

     

    Le peintre de Pori...

    Autoportrait (1897)

    Aksel Gallen-Kallena

     

     

     

    Le peintre de Pori...

    Triptyque La légende de Vaino (1891)

     

     

     

    Le peintre de Pori...

    « Vaïlnamöïen » (Le voyage) (1909)

     

     

     

    Le peintre de Pori...

    Marie Gallen (1890)

     

     

     

    Le peintre de Pori...

    Sky (1904)

     

     

     

    Le peintre de Pori...

    Study for Aino triptych (1889)

     

     

     

    Le peintre de Pori...

    Wiew from Noryh Quay (1891)

     

    Texte et images wikipédia

     

     

    J’ai découvert ce peintre dans la revue « Classica », qui parlait  d’une œuvre de Sibélius

    Des tableaux plein  de rêves, aux tendres couleurs pastel…

    Liviaaugustae

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     


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