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    FELIX MENDELSON-BARTHOLDY
    (Hambourg 1809-Leipzig 1847)
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
    numérisation0005Portrait de Félix Mendelson.
    (Par le miniaturiste, James Warren Childe).
     
     
     
     
    
     
    Il était le deuxième enfant d’une famille bourgeoise riche et de grande culture, d’origine juive.
    Son père Abraham, fils du célèbre philosophe Moses Mendelson « le Platon moderne », et banquier avisé, se plaisait à dire : « Avant j’étais le fils de mon père, aujourd’hui, je suis le père de mon fils ».
    Quoiqu’il fût sensible aux arts, Abraham n’était pas musicien et c’est sans doute à Léa et à son ascendance (sa tante Sara Lévy avait été l’élève favorite de Friedmann Bach) que les enfants Mendelson durent leur fibre musicale : Fanny fut une excellente pianiste (avec des dons de compositeurs écrasés par ceux de Félix), Rebecca chantait et Paul jouait remarquablement du violoncelle.
    Leur mère fut le premier professeur de Fanny et de Félix, qu’une profonde tendresse unit toute leur vie.
    Emmenés par leur père à Paris en 1816, Fanny (11 ans) Félix (7 ans) y prirent des leçons de piano avec Marie Bigot, interprète préférée de Beethoven.
    Après leur retour à Berlin, leur éducation fut confiée à des hommes de premier plan, tant pour la culture générale que pour la musique, et pour le dessin où Félix excellait (il a laissé de nombreux dessins charmants de paysages réalisés au cours de ses multiples voyages).
    Le 28 octobre 1818, âgé de 7 ans Félix participa, au piano, à un premier concert en public, et entra en 1819 à la Singakademie.
    Ses premières compositions datent de 1820. Et le rythme des compositions  s’accéléra (symphonies, motets, études pour piano, lieder, etc…) que Félix eut le la chance de diriger lors des concerts du dimanche  donné chez ses parents, et qui attiraient tous les artistes résidents ou de passage.
    A sa sortie de l’université, son père accepta qu’il consacrât sa vie à la musique.
    Au hasard de concerts  à Francfort, il rencontre la jeune Cécile Jeanrenaud (d’ascendance française Huguenotte) qu’il épousa et qui lui donna 5 enfants, et qu’il aima profondément jusqu’à ses derniers jours.
     
     
     
     
     
    
    
    
    
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    Cécile Jeanrenaud, son épouse.
    (Par Edward Magnus)
     
     
     
     
     
    Compositions, concerts, voyages, réceptions, correspondance… La vie de Mendelson était alors débordante d’activité et heureuse. […]
    S’il a fui autant qu’il a pu l’atmosphère du Berlin musical de l’époque et si Paris l’a déçu, il fut partout adulé comme compositeur, chef d’orchestre (il électrisait, au pupitre les musiciens d’orchestre auxquels il communiquait l’amour d’ouvres de ses contemporains, mais aussi du passé, oubliées ou méconnues : ce fut à lui que l’Allemagne devait de redécouvrir J.S. Bach, dont il fit revivre l’œuvre […]
    L’homme exceptionnellement doué, d’une mémoire remarquable, hypersensible, brillant, charmeur, aimant la vie, d’une vaste culture et travailleur acharné, a toujours su allier son goût de la fantaisie et de la liberté avec les règles de la vie bourgeoise qui ne semblait pas lui peser […]
    Après avoir assisté aux débuts, à Londres, de la jeune cantatrice suédoise Jenny Lind (avec qui il s’était lié à Berlin en 1844), il rentra à Francfort pour apprendre la mort brutale de sa sœur Fanny : sous l’empire de la douleur et de la révolte, il composa «le quatuor à cordes en fa mineur op.80 […]
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
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    La cantatrice Jenny Lind.
     
     
    Revenu à Leipzig, il entendit son concerto pour violon splendidement joué le 3 octobre 1847 par l’un des premiers élèves de son conservatoire, et y mourut le 4 novembre 1847.
     
     
     
     
     
     

     

     

     

     

     

     

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    La Tombe de Félix Mendelson.

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     


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    JOSPHE BOULOGNE : CHEVALIER DE SAINT-GEORGES (1739-1799).

     

     

    On ne possède guère de détails sur la naissance de Joseph Boulogne Saint-Georges.

    Son père était Georges  Bologne ancien gentilhomme de la chambre du Roi et riche planteur de Basse-Terre en Guadeloupe. Sa mère d’origine Sénégalaise, était l’une des esclaves africaines de la plantation.

    En 1759, la famille met le cap sur la France pour s’installer à Paris. La situation domestique de Georges Bologne de Saint-Georges tenait du scandale : En effet, il partit vers la France accompagné de son épouse légitime, de sa maîtresse noire, et de son fils illégitime Joseph ; sa fille légitime se trouvait déjà à Paris. Joseph reçut le nom de famille de son père, et Georges voulut s’assurer que son fils recevrait la meilleure éducation possible. L’intérêt que portait Georges à son fils était renforcé par les aptitudes exceptionnelles de Joseph. Celui-ci passa six années à l’académie Royale des armes de la Boëssière, où il reçut une éducation sérieuse tant littéraire que physique. Il devint membre des gendarmes de la garde du Roi et semblait destiné à une carrière militaire. A un certain moment de sa jeunesse, Joseph a du entreprendre l’étude de la musique. Ses dons dans ce domaine, étaient aussi remarquables que ses autres talents, mais on ne possède aucune indication sur ses études musicales. Son père était connu comme mécène de plusieurs musiciens.

    Avec ses brillants talents et son physique exotique, Saint-Georges fit la conquête de la société parisienne. Fut-ce à cause de ses prouesses physiques ou de ses talents musicaux ? On l’ignore. Mais ses succès auprès des femmes lui valurent bientôt le sobriquet de «Don Juan noir ». 

    En 1769, Saint-Georges reçut son premier engagement en tant que musicien : il entra comme violoniste d’orchestre sous la direction de Gossec, dans une formation nouvellement créée le « concert des amateurs ». C’est en 1772, que Saint-Georges fit ses débuts de soliste, où il interpréta ses deux concertos pour violons opus 2.

    Lorsque Gossec démissionna un an plus tard, il confia à Saint-Georges la direction de l’orchestre jusqu’à sa dissolution en 1781, probablement pour des raisons financières. Joseph prit la direction de la loge Olympique, parrainé par le Comte d’Ogny et avec le soutien du Duc d’Orléans. Sa réputation ne fit que croître. C’est pour cet orchestre et par l’intermédiaire de Joseph, que le Comte d’Ogny commanda à Haydn, les symphonies parisiennes. Joseph dirigea les premières de ces symphonies, qui furent un triomphe en 1787.

    Le succès de Joseph, comme violoniste, chef d’orchestre et compositeur de musique ne faisait désormais plus aucun doute.

    En 1775, son nom avait été proposé pour le poste de directeur musical de l’opéra, mais sa candidature fut retirée, après la pétition à la Reine Marie-Antoinette, signé par les cantatrices, disant que leur honneur et la délicatesse de leur conscience, leur interdisaient de se soumettre aux ordres d’un mulâtre.

    De 1777 à 1790, Joseph consacra une énergie considérable à la composition et à la production de sept opéras comiques, d’un succès limités.

    Les dix dernières années de la vie de Joseph, furent dominées par la révolution, et il dut pratiquement abandonner sa carrière de musicien. Il avait toujours, aux cours des années, eut recours à ses prouesses d’escrimeurs et d’athlète, pour regarnir sa bourse souvent à plat. En Angleterre, où il était mieux connu comme escrimeur que comme musicien, il organisa des joutes d’exhibition qui connurent un grand succès. Désormais il allait mettre ses aptitudes à un autre usage.

    Lorsqu’en 1789, la révolution proclama l’égalité de tous les hommes, Joseph fut parmi les premiers à s’enrôler dans la garde nationale. Quelques années plus tard, il fut nommé colonel de la légion franche de cavalerie des américains et du midi, troupe de mille soldats noirs appelées communément « légions Saint-Georges ». Dans la confusion créée par la révolution, cette formation n’eut guère de succès et Saint-Georges finit par passer dix-huit mois en prison.

    Le jeune Duc d’Orléans devenu « Philippe Egalité », son ami intime et activiste comme lui, finit sur la guillotine. Saint-Geroges tenta, mais sans succès de réintégrer l’armé. La fin de sa vie fut très désorganisée.

    Il revint à la musique en 1797, et fonda un nouvel orchestre : Le Cercle de l’harmonie. Il mourut en 1799.

    Charlotte Nediger.

     

    Certains « fans » du chevalier, (Le Mozart Noir), prétendent que Mozart aurait plagié ce dernier. Ridicule !

     

    « Mozart en effet composa dès l’âge de 6 ans (1762) Menuet k2, 4 et 5 ; Allegro k3. Il donne même un concert cette même année devant  Maximilien III, Electeur de Bavière.

    En 1763, par l’intermédiaire de Madame de Pompadour il est reçu à Versailles où l’on exhiba le très jeune Wolfgang.

    Le 5 décembre 1791, à minuit cinquante cinq, Mozart avait cessé de vivre. L’évènement fit peu de bruit, l’enterrement fut des plus modestes mais conforme aux normes de l’époque. Le temps n’était pas mauvais, mais seuls quelques amis suivirent le corbillard, et l’on égara dans l’anonymat de la fosse commune le corps de cet homme exceptionnel.

    Haydn était à Londres lorsqu’il apprit la nouvelle. Il mesura aussitôt, lui, la perte irréparable que l’humanité venait de subir. « Pendant quelques temps je fus hors de moi à cause de sa mort. Je ne pouvais croire que la Providence eut sitôt repris la vie d’un homme indispensable… »

    Dictionnaire Larousse de la Musique.

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     


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    LE REQUIEM DE MOZART.
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
    numérisation0003
    Wolgang Amadeus Mozart, sous le regard de sa femme Constance, composant sur son lit de mort le célèbre requiem.
     
    Tableau de William James Grant.

     
     
    A l’origine de cette œuvre se trouve une belle histoire d’amour :
     
    Elle est belle, très belle même, la jeune épouse du comte Franz Von Walsegg Zu Stuppash. Elle a le teint pâle, des lèvres rouge cerise, de grands yeux rêveurs et tendres. Elle s’appelle Anna, elle a vingt ans. Le comte a deux passions qui gouvernent son cœur et tout son être, sa jeune femme Anna et la musique. La musique, il en joue et pense même composer.
     
    C’est donc le sol qui s’ouvre sous les pieds du comte quand la douce et belle Anna meurt. Il décide d’ériger un mausolée à sa chère Anna, un mausolée de notes, une messe de requiem. Il commande cette messe à un compositeur à peine plus âgé que lui et dont il aime les œuvres, un certain Wolfgang Amadeus Mozart. Il sait que l’ouvre sera de haute qualité, digne de sa femme chérie.
     
    Walsegg sait que Mozart vit à Vienne, qu’il joue et qu’il a donc besoin d’argent. Le comte mandate un de ses amis très proche pour contacter Mozart, et lui proposer cinquante ducats, pour l’écriture d’un requiem à l’intention d’un commanditaire anonyme.
     
    Mozart est impressionné quand, en juillet 1791, « celui qu’il nomme dans ses lettres le messager en gris » lui commande l’oeuvre ; il se sent en effet malade, épuisé, et il craint la mort qu’il sent rôder auprès de lui. Il s’imagine qu’il compose ce requiem pour lui-même. Mozart y travaille jusqu’au bout de ses forces, usant ses yeux sur les portées mal éclairées par les chandelles, tandis que Constance dort près de lui, dans ce lit dont il pressent que s’il s’y couche, il ne s’en relèvera pas. Il avance pourtant avec passion autant qu’avec terreur.
     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    numérisation0004Première page du requiem avec l’écriture de Mozart.

     

    Mozart va rendre son dernier souffle, le 5 décembre 1791. Qu’advient-il du requiem ?

    Constance a plus que jamais besoin d’argent à la mort de son mari, et la douleur ravalée, elle comprend qu’elle doit tout faire pour honorer la commande du mystérieux homme en gris. Elle décide de confier l’achèvement du requiem à un élève de Mozart.

    Le comte Walsegg, reçoit donc une œuvre dont aucune page n’est de la main de Mozart, Constance ayant gardé les originaux de son époux.

    Le comte recopie à son tour la partition intégralement terminée et la fait exécuter comme étant de lui en mémoire de sa tendre Anna.

    Quelque temps plus tard, Constance révèlera que son mari était en fait l’auteur de ce requiem qui avait impressionné tous ceux qui l’avaient entendu.

    Mais savoir que la puissance tragique de cette œuvre, véritable sommet autobiographique d’un génie qui se tourne vers l’au-delà, est née d’un geste d’amour n’est pas en contradiction avec cette inspiration ultime portée par quelque chose qui, continue de nous dépasser.

    Extrait du Figaro Magasine de juillet 2011.

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     


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    ANTONIO VIVALDI.
    (Celui que l’on surnommait le prêtre roux).
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
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    Peinture de la Place San Marco
     
    (Venise)
     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

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    Portrait, gravure de cuivre contemporaine, teintée d’après une peinture (1720)

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    numérisation0008Tableau d’instruments de l’époque baroque.

     

     

    Antonio Vivaldi naît à Venise le 4 mars 1678. Son père violoniste à la Chapelle Ducale de Saint Marc, enseigna le violon à son fils dès son plus jeune âge.

    Antonio Vivaldi a donc bénéficié d’une éducation musicale sans faille et ses facultés précoces et remarquées, lui ont permis de fréquenter rapidement quelques uns des plus grands virtuoses vénitiens, comme Giovanni Legrinzi.

    Vivaldi est ordonné prêtre à l’âge de 25 ans, mais il va rapidement abandonner son ministère à cause de l’inquisition. Malade, asthmatique, chétif, fragile, Vivaldi était incapable de participer activement aux offices religieux. Pris de suffocations, il devait régulièrement quitter l’autel pour se soigner. Cela suffit à l’inquisition pour le déclarer fou et le mettre à l’écart.

    Cette même année 1713, Vivaldi fut nommé professeur de violon au Séminario musicale dell Ospedale della Pieta, institution musicale de Venise, qui recueillait des jeunes filles orphelines ou abandonnées, et leur enseignait la musique. Le compositeur restera attaché à la Pieta jusqu’en 1740.

    A la Pieta les mœurs des jeunes filles sont licencieuses, mais pour Vivaldi cela n’a pas d’importance, de santé très fragile, il est complètement absorbé par la musique.

    (La légende tenace, veut un Vivaldi, prêtre, paillard et libertin, parce qu’il était prêtre).

    Durant cette période, c’est l’opéra qui permet à Vivaldi d’être joué dans toute l’Europe et réclamé par les plus grands théâtres musicaux.

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    numérisation0009Concert de Vivaldi pour son Altesse Royale Ferdinand III Prince de Toscane.

     

    Et toujours en 1740, après une soirée musicale mémorable à la Pieta, Vivaldi disparaît. On n’entendra plus jamais parler de lui, probablement mort dans l’anonymat et l’indifférence générale.

    Pire, il faudra attendre près de deux siècle, pour qu’en 1938, des recherches menées à Vienne, nous éclaire enfin sur la disparition d’un des plus grands génies musicaux de l’histoire : seul, sans argent, ignoré de tous, Vivaldi s’éteint d’une inflammation interne à Vienne. Il est inhumé le 28 juillet 1741, au cimetière de l’hôpital de Vienne, réservé aux indigents.

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     


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    LILY LASKINE (1893-1988).
     
     
     
     
     
     
     
     
    numérisation0001
    Lily Laskine derrière sa harpe lors d’un concert…
     

     

     

     

    Quatre ans avant la mort de Brahms, l’année de la naissance du cinéma, de la disparition de Gounod et de Tchaïkovski, de la première de Falstaff de Verdi, le 31 août 1893, à Paris, naît Lily Laskine.

    A dix ans, elle entre au Conservatoire de Paris dans la classe de Hasselmans. Elle obtient à onze ans et demi un 2em prix avec le concerto d’Henriette Renié. L’année d’après, en 1906, un 1er prix avec « la légende » d’Albert Zabel à laquelle Henriette Renié à ajouté une cadence étourdissante. Après trois années de leçons, puis deux années de cours au Conservatoire avec Hasselmans, Lily Laskine ne prendra plus jamais de leçons de sa vie…

    « J’ai eu la chance de comprendre assez vite que la pauvreté de notre répertoire – c’est un fait, il n’y a pas à revenir là-dessus et ceci parce que la harpe a fleuri en une période mineure – m’obligerait à chercher autre chose : je voulais faire une carrière de soliste mais je me refusais à l’idée de jouer mille ou deux mille fois le répertoire de concert. Je voulais entendre de la musique, faire de la musique à tout prix autrement… »

    Tous les grands chefs d’orchestre se succèdent au pupitre, pour la joie de la grande harpiste : Richard Strauss, Bruno Walter, Paul Paray, Philippe Gaubert, Wilhelm Furtwängler… Car Lily Laskine est avant tout une musicienne, « une amateur » de musique…

    Les concerts en France et en Europe se succèdent à la fin de la guerre. Durant cette période, Lily Laskine a suivi son mari Roland Charmy, et l’Orchestre National, replié à Marseille. C’est là qu’elle fait la connaissance du très jeune Jean-Pierre Rampal (il a 16 ans)… Le célèbre duo Laskine-Rampal a donné des concerts pendant presque quarante ans. Jean-Pierre Rampal lui voue une véritable admiration.

    Lily Laskine n’a pas seulement inspiré les compositeurs de son temps. Elle a fait découvrir a tous les chefs et grands musiciens de son époque, que la harpe était un instrument qui pouvait « chanter »…

    Toutes ces facettes différentes éclairent une Lily Laskine prête à découvrir toutes les richesses de notre monde.

    Elle aime et veut s’enrichir. Le théâtre, la littérature, le cinéma, la poésie, la politique, tout la fascine…

    Le portrait de Lily Laskine serait incomplet si l’on ne parlait pas de son humour. Son merveilleux humour en toutes occasions, toutes circonstances, et presque toujours (ou le plus souvent) tourné sur elle-même…

    L’art de Lily Laskine était d’appréhender la vie. La vie quotidienne avec ses plaisirs, ses surprises. La chaleur de sa générosité, sa fidélité sincère, sa culture éclectique et la délicatesse de sa sensibilité ont fait vibrer son public et ses amis…

    Marielle Nordmann.

     

     

     

     

     

     

     

     

     


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